Puy Story

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23 novembre 2021

Chez les Artisans du Puy du Fou (10/10)

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Sculpteur de bois de la Cité Médiévale.

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Platrier du Village 18ème.

19 novembre 2021

Le Chant des Marais

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16 novembre 2021

Etude pour le débarquement de Quiberon par OUTIN

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OUTIN (Pierre) Né à Moulins en 1840, mort à Paris en 1899.
Peintre de genre et de portraits.
Aquarelle de 1889 est d'une hauteur de 0,73m et une largeur 0,56m
Cette œuvre représente un chouan tenant son arme à la main.
Elle constitue une étude de personnage en vue du tableau présenté au Salon de 1829 intitulé "Episode du débarquement de Quiberon" (actuellement conservé au musée de Moulins).
En juin 1795, les émigrés d'Angleterre tentent de débarquer à Quiberon avec l'aide des Chouans.
Mais grâce au général Hoche, les Républicains parviennent à bloquer les Royalistes dans la presqu'île et à engager une contre-attaque efficace.
Aussi l'opération se transforme-t-elle rapidement en déroute totale.
De plus, 750 hommes ayant participé à l'opération sont fusillés le mois suivant.
Cet épisode fut décrit par Thiers dans son "Histoire de la Révolution Française" :
"D'Hervilly qui bravait le feu avec le plus grand courage reçoit un biscaïen au milieu de la poitrine.
Les premiers soins lui furent donnés par une anglaise Lady Harriet Diana W... qui l'accompagnait depuis Londres"
(Correspondance particulière).

12 novembre 2021

Verdun 2/2 *

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La ville de Verdun est à présent menacée et, côté français, il convient de réagir vite.
Le 25 février, Joffre décide de nommer le général Pétain, un défensif, à la tête du secteur.
Ne comprenant pas pourquoi les Allemands n’ont pas attaqué sur la rive gauche, il y déploie toutes les batteries d’artillerie qu’on veut bien lui allouer pour prendre les Allemands en enfilade et parvient, en quelques jours, à endiguer leur avance.
Sa tâche est facilitée, puisque l’infanterie allemande a progressé si vite que son artillerie lourde est à présent hors de portée pour la soutenir.
Le Kronprinz, fils du Kaiser, chargé du secteur, demande et obtient que le front s’étende à la rive gauche de la Meuse.

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C’est chose faite le 6 mars, et les Allemands remportent des succès notables se rapprochant des éminences du Mort-Homme et de la cote 304.
De nouveaux renforts expédiés côté français permettent de rétablir la situation.
Le 1er mai 1916, le général Pétain est placé à la tête du groupe d’armées Centre, en charge du secteur de Verdun.

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C’est là que le général va pouvoir superviser le va-et-vient de camions chargés de matériel et d’hommes en direction du front de Verdun, empruntant cette route élargie par le génie, et entrée dans l’histoire sous le nom de Voie sacrée.
Les prouesses logistiques des Français vont avoir un impact décisif sur le cours des opérations.

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Sur le front de Verdun, le général Mangin, un offensif, a remplacé Pétain.
Dès le 2 mai, il tente de reprendre Douaumont.
Mal préparée, cette attaque échoue, avec des pertes sévères.
Les Allemands reprennent alors l’offensive et s’emparent du Mort-Homme.
Le 1er juin, c’est le fort de Vaux qui tombe et à la fin du mois, de nouvelles troupes allemandes tentent d’emporter la décision sur la rive gauche.

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Les pertes sont sévères de part et d’autre.
Le front se stabilise.
Le 1er juillet, l’armée alliée attaque sur la Somme pour soulager les troupes françaises de la Meuse.
Appuyée par une intense préparation d’artillerie, l’infanterie progresse lentement.
Mais l’offensive par laquelle Joffre espérait revenir à une guerre de mouvement s’enlise.
Fin août, Falkenhayn est limogé et son remplaçant, Hindenburg, décide d’opter pour la défensive.

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Mais les Français préparent leur contre-offensive grâce, notamment, à de nombreuses troupes coloniales.
Le 24 octobre, Douaumont est repris, puis Vaux.
Jusqu’au 18 novembre, 206000 Britanniques et 66000 Français périssent.
C’est l’opération la plus meurtrière de la guerre.
L’objectif est néanmoins atteint.
Les Allemands lâchent prise à Verdun.
Le 15 décembre, une dernière poussée française, massive, permet de rétablir la situation et ramène presque les Allemands sur leurs lignes de départ.
La bataille de Verdun est terminée.

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La bataille de Verdun demeure un symbole, celui de la guerre des tranchées, brutale, abominable, impersonnelle.
De très nombreux soldats français et allemands sont morts sans avoir jamais vu l’ennemi, écrasé par les obus.
La bataille de Verdun est en effet, et avant tout, une gigantesque bataille d’artillerie.
Les deux premiers jours de l’offensive, deux millions d’obus sont tombés sur les positions françaises.
Au total, les Allemands perdent 300000 hommes, tués, blessés et disparus.
Les Français, 375000.

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Une véritable boucherie, pour un résultat territorial nul.
L’armée française est confrontée en 1917 à une vague de mutineries sans précédent.
Le souvenir de la boucherie de Verdun et l’échec de l’offensive du Chemin des Dames ont sérieusement ébranlé le moral des soldats français, qui multiplient les actes de colère et d’indiscipline.
L’arrivée au pouvoir des bolcheviks en Russie par la révolution de février 1917 effraie les généraux alliés, qui redoutent une contagion.
La répression est confiée au général Pétain.
En mai et en juin 1917, le conseil de guerre prononce des peines exemplaires à l’encontre de
3500 soldats, dont 600 sont condamnés à mort.

9 novembre 2021

Amoureux de Verdun.

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5 novembre 2021

Le Bal 1930

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2 novembre 2021

La troupe du Marais..*

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"L’accueil est à haut risque puisque derrière ce rideau qui, dans quelques instants, va s’ouvrir grand, pour vous, la troupe du Marais, en quittant ses tréteaux, change de résidence et fait le pari fou d’un accueil incertain, ici, au Puy du Fou !"
Le théâtre du Marais est l’un des plus célèbres de Paris et un des premiers théâtres du Paris de l’époque classique, mais qui a connu une histoire mouvementée.

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C’est là que fut créé le Cid de Corneille et que furent jouées les pièces de Mairet (1604-1686), Scudéry (1607-1701), Scarron (1610-1660).
La collaboration étroite de Pierre Corneille (1606 – 1684) et de l’excellent acteur Montdory (1594-1654), contribue de manière décisive à la renommée de cette scène concurrente de l’Hôtel de Bourgogne dite "Troupe royale" et qui reçoit une pension de la part du roi.
Vers 1600, il semble (car peu d’écrits l’attestent) qu’une troupe soit venue à Paris pour la foire Saint Germain et voulut s’installer en ville dans un théâtre qu’elle aurait fait construire dans le Marais, dans une maison appelée "Hôtel d’Argent".

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Et ce non sans mal.
En effet, Paris comptait alors deux salles.
Le Petit Bourbon pour les comédiens royaux et l’Hôtel de Bourgogne pour les spectacles ouverts au public.
Et difficile de sortir du monopole de ce dernier.
Déjà, le 28 avril 1599, le Châtelet de Paris réaffirme la défense de jouer ailleurs qu’au théâtre de l’Hôtel de Bourgogne.
Défense également aux bourgeois de louer leur maison à des comédiens.
Mais en 1624, Guillaume de Mondory et Claude Deschamps (dit Villiers (1600 – 1681)) fondirent leur troupe sous le nom de Marais.
1634 : Le 8 mars, Mondory loua le Jeu de paume du Marais, rue Vieille du Temple, pour y entreprendre des travaux afin d’aménager un vrai théâtre.
1635 : 1 er janvier : Inauguration du théâtre du Marais.

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1637 : Première représentation du Cid de Corneille (Pièce crée en pleine guerre avec l’Espagne Corneille prépare une pièce qui célèbre l’héroïsme castillan).
1638 : L’acteur Josias de Soulas, dit Floridor (1608 – 1671) entre dans la troupe, pour succéder à Montdory et devient rapidement à son tour une vedette parisienne et l’ami personnel de Pierre Corneille.
La concurrence entre le théâtre du Marais et l’hôtel de Bourgogne est vive, au point que fréquemment les deux troupes créent la même saison deux pièces rivales sur le même sujet.
Le roi lui-même intervient à deux reprises au moins pour modifier la composition des troupes et faire passer des comédiens d’un théâtre à l’autre.

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1643 : La salle, les décors et les costumes sont détruits par un incendie.
1644 : Octobre, après sa complète rénovation et nouveautés techniques, réouverture du théâtre du Marais et "les petits comédiens" comme on les appelle, par opposition aux "grands comédiens" de l’Hôtel de Bourgogne rejouent et passent par diverses périodes de prospérité et de détresse.
Le nouveau Marais développe de plus en plus ses changements de décors spectaculaires, avec naufrages et cataclysmes dans ses pièces à machines et met fin au décor austère du théâtre de la Renaissance.
Le Marais connaît notamment un succès triomphal avec une pièce à machine, La Toison d’or, que Louis XIV (1638 – 1715) voit deux fois, mais Jean-Baptiste Lully (1632 – 1687) lui porte le coup fatal avec son privilège d’exclusivité, ce qui interdit à la fois la représentation des comédies ballets et des pièces à machines.

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L’ampleur du succès dut à la pièce de Corneille "Le Cid" joué par la troupe du Marais oblige les comédiens à placer certaines personnes de part et d’autre de la scène.
Ces places étaient bien plus chères et donc réservées à la Cour.
Mais cela n’arriva pas à compenser le départ, pour l’Hôtel de Bourgogne, de Floridor puis de Corneille, qui apportait toutes ses pièces à la troupe depuis 18 ans.
Durant les années 1650, la salle est désertée.
1660 : Malgré le monopole de l’Hôtel de Bourgogne avec qui il est en concurrence, le théâtre du Marais ouvre ses portes grâce à Mondory et sa troupe.

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Le théâtre du Marais en plein âge d’or du théâtre français reste loin derrière l’Hôtel de Bourgogne et le Palais Royal de Molière.
Il déménagera encore à plusieurs reprises, mais reste toujours attaché au quartier du Marais.
La troupe du théâtre y joue toujours les œuvres de Pierre Corneille.
Mais les trois troupes de comédiens se disputent le public de théâtre parisien, la troupe du Palais Royal (dirigée par Molière), celle du Marais et celle de l’Hôtel de Bourgogne.
1669 : à cause de difficultés financières, la salle est fermée en 1673 et la troupe est dissoute sous l’ordre de Louis XIV.

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Désireux d’une centralisation, Louis XIV ordonne aux comédiens de la troupe du Marais de rejoindre la troupe de Molière après la mort de ce dernier.
Le roi force également la main de la troupe de Bourgogne pour qu’une troupe unique se forme à Paris.
C’est par un édit de Louis XIV que s’est fondée cette troupe unique et permanente : la Comédie Française.
La Comédie Française fut nommée sous deux autres noms également, Théâtre Français et la Maison de Molière.
Les comédiens français s’unissent finalement le 5 janvier 1681, pacte qui ne sera jamais rompu.
En 1791 un autre théâtre du Marais est bâti avec des matériaux récupérés de la prise de la Bastille et présentant des spectacles révolutionnaires.
Si Corneille en était l’auteur-maison au XVIIème siècle, c’est maintenant le tour de Beaumarchais (1732- 1799).

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Le théâtre du Marais connaît alors un franc succès avec la célèbre trilogie de Beaumarchais : "La Mère coupable", "Le Barbier de Séville" et "Le Mariage de Figaro".
1807 : Fermeture du Théâtre par ordre de Napoléon (1769-1821).
1812 : La salle est détruite pour laisser la place à un établissement de bains.
Au XXe siècle, un nouveau lieu théâtral est ouvert sous le nom de théâtre du Marais.
Fondé par Jacques Mauclair en 1976, il ferme un temps ses portes en 1999 avant d’être repris par le cours Florent en mai 2000.
En 2009, il est repris par Sébastien Autret, Charles Petit et Quentin Paulhiac, qui font revivre cette salle avec une programmation hétéroclite de pièces de théâtre.

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29 octobre 2021

Verdun (1/2) *

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Entre 1871 et 1914, l’Europe profite d’une paix relative.
La rivalité franco-allemande, plus vivace que jamais, se détourne de la "ligne Bleu Des Vosges" et s’exprime hors du continent européen.
Marquée par son humiliante défaite dans la guerre de 1870, la France fait de son empire colonial un exutoire à ses frustrations.
L’Allemagne de l’empereur Guillaume II, jusqu’alors hermétique aux questions extra-européennes, s’engage dans une politique expansionniste agressive et regarde les possessions coloniales des autres puissances.
Le début du 20ème siècle est le temps des alliances complexes et d’une course aux armements qui vont déboucher sur le conflit le plus meurtrier de l’histoire.
Depuis 1904, l’Entente cordiale est établie entre la France et la Grande-Bretagne, rejointes en 1907 par la Russie au sein de la Triple-Entente.
Elle répond à la Triple-Alliance ou "Triplice", signée entre l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et l’Italie en 1882.
L’équilibre de l’Europe est fragile.

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En 1911, l’envoi d’une canonnière allemande dans la baie d’Agadir, au Maroc, manque de peu de déclencher une guerre.
Dans les Balkans, la fragmentation territoriale imposée par les puissances lors du congrès de Berlin de 1878 a créé une situation explosive.
Les guerres balkaniques de 1912 et 1913 sont les prémices du conflit mondial.
Le 28 juin 1914, l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand à Sarajevo, en Bosnie, déclenche l’embrasement général.
Le 28 juillet, l’Autriche-Hongrie déclare la guerre à la Serbie.
Le lendemain, la Russie, alliée historique des Serbes, ordonne la mobilisation.
L’événement déclenche une réaction en chaîne.

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Le 3 août 1914, l’Allemagne déclare la guerre à la France.
Le lendemain, le Royaume-Uni entre à son tour en guerre…
On prévoit un conflit bref mais violent.
Pour la France, une chose importe est de récupérer l’Alsace et la Lorraine, perdues en 1871.
Le 5 août 1914, suivant le "plan Schlieffen", l’armée allemande, commandée par von Moltke, pénètre en Belgique neutre.
Joffre, général en chef des forces françaises, applique aveuglément le "plan XVII" et concentre ses efforts sur l’Alsace et la Lorraine.
Le 23 août 1914, les Allemands percent les Ardennes et menacent Paris.

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10 000 soldats sont envoyés sur le front de la Marne (grâce aux taxis parisiens) et réussissent du 6 au 12 septembre1914 à enrayer l’avancée allemande.
Un nouvel enjeu se dessine.
Les ports de la Manche et de la mer du Nord, voies de communication entre France et Grande-Bretagne.
La bataille d’Ypres, du 29 octobre au 24 novembre 1914, victoire décisive alliée, est le dernier épisode de cette "course à la mer".
À l’approche de l’hiver, le front se stabilise.
De part et d’autre, on creuse des tranchées.
En 1915, Joffre lance des offensives en Champagne, en Artois et sur la Woëvre.
Des opérations secondaires sont conduites en Flandres, en Argonne, dans les Vosges.
La deuxième bataille d’Ypres crée un effroyable précédent dans l’histoire militaire.

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Le 22 avril 1915, les Allemands lâchent dans l’atmosphère 150 tonnes de gaz asphyxiant (gaz moutarde), faisant 5200 morts.
À Verdun, dans la Meuse, saillant dans la ligne de front, le général Falkenhayn veut "saigner à blanc l’armée française".
De février à décembre 1916, 163000 Français et 143000 Allemands vont mourir dans les tranchées.
Les lignes sont disloquées par le déchaînement de l’artillerie.
Les positions perdues un jour sont reprises le jour suivant dans un va-et-vient incessant.

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La France ne veut à aucun prix abandonner ce haut lieu de son histoire.
C’est à Verdun en 843 qu’a été scellé le partage de l’Empire carolingien donnant naissance à la France.
C’est là aussi que Charlemagne a partagé son Empire, et les forts qui protègent la ville dont celui de Douaumont, est un sujet de fierté nationale en France.
Pour l’Allemagne, une victoire à Verdun devient impérative.
Le général Falkenhayn en charge des opérations sur le front de l’Ouest a toute la confiance du Kaiser Guillaume II pour mener à bien cette offensive, que l’on espère décisive.
Fin décembre, Falkenhayn a fixé son choix.

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Ce sera Verdun.
Près d’un siècle plus tard, ses intentions exactes demeurent mystérieuses car le mémorandum de Noël 1915, dans lequel le général allemand se serait fixé comme objectif celui de "saigner à blanc l’armée française", est probablement une invention de l’après-guerre.
Mais si l’on admet que son intention était celle-là, le secteur de Verdun semble l’endroit idéal pour mener une bataille d’usure.
Depuis 1914, la région fortifiée de Verdun (RFV) forme un saillant sur la rive droite de la Meuse, que l’on peut donc attaquer depuis plusieurs directions.

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Il est par ailleurs très mal desservi côté français, puisqu’une seule ligne de chemin de fer, étroite.
Reliant Bar-le-Duc à Verdun, peut permettre d’y acheminer rapidement des renforts et du matériel.
Falkenhayn a prévu une attaque sur un front de 7 km, sur la rive droite de la Meuse.
Six divisions d’infanterie, soutenues par un millier de pièces de tous calibres, dont des obusiers de 420 mm, doivent s’emparer dans les meilleurs délais du terrain qui les sépare de la ville de Verdun, soit une petite quinzaine de kilomètres.
Face à eux, deux divisions françaises, déployées dans des tranchées peu profondes et manquant souvent de barbelé.
Le 21 février, l’attaque commence par un bombardement d’une violence telle qu’il est audible à plus de 200 km.
Après un pilonnage de près de huit heures et vers 17 heures, l’infanterie allemande sort de ses abris.

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On a affirmé aux soldats allemands qu’ils ne rencontreraient aucune résistance.
Mais rapidement, dans les cratères et le sol ravagé par les obus, des soldats français se dressent et livrent bataille avec l’énergie du désespoir.
Ils ne peuvent que retarder la marche.
En trois jours, la progression allemande est spectaculaire de près de 5 km.
Le fort de Douaumont, défendu par une compagnie de territoriaux, tombe sans combattre le 24 février 1916.

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26 octobre 2021

Chez les Artisans du Puy du Fou (9/10)

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Scellier - Harnacheur du Village 18ème.

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Miniature de la Cité Médiévale.

22 octobre 2021

Le béret

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